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jeudi 10 mars 2011

Les bons et les mauvais politiciens!

Pierre Simard
Journal de Québec, 10 mars 2011, Lettre du jour, p.19.

Il existe deux catégories de politiciens : les « bons » et les « mauvais ». De toute évidence, les Québécois préfèrent les « mauvais ».

On le sait, le gouvernement ne crée pas de richesse, il la distribue. Aussi, le « bon » politicien s’assure que ses décisions rapportent plus qu’elles ne coûtent à la société. Il améliore le bien-être global de la société lorsque les avantages retirés par ceux qui profitent de ses largesses sont supérieurs aux pertes de ceux qui en paient la facture. À l’inverse, le « mauvais » politicien met de l’avant des politiques sans regarder à la dépense.

Le problème, voyez-vous, c’est que notre système politique nous conduit la plupart du temps à élire les « mauvais » politiciens plutôt que les « bons ». Je m’explique!

samedi 12 février 2011

Taxes: le choix du bourreau!

Pierre Simard
La Presse, Forum Plus, samedi le 12 février 2011, p.7 (disponible sur cyberpresse)
Le fisaclo-sceptique, Journal de Québec, lundi le 14 février, p.19

Le ministre Bachand en appelle à la solidarité de tous les Québécois. La souveraineté fiscale du Québec serait menacée par le gouvernement du Canada. Je ne sais pas si c’est pour faire diversion à l’approche du prochain budget, mais j’ai le sentiment que notre bon ministre des Finances tente d'exciter ma fibre nationaliste. Désolé, mais je ne vibre pas!

mercredi 19 janvier 2011

Le Québécois crétin

Pierre Simard
La Presse, Forum, mercredi le 19 janvier 2011, p. A21. (disponible sur Cyberpresse)
Le Journal de Québec: Crétin, crétinisme et crétinisation, Opinion, vendredi le 21 janvier 2011, p.17

Il n’y a pas si longtemps, avant la révolution tranquille, nos parents géraient leurs vies eux-mêmes et n’attendaient pas grand-chose du gouvernement. Le bon citoyen subvenait à ses besoins et à ceux de sa famille… tout simplement!

Le monde a bien changé. De nos jours, le bon citoyen est celui qui paie ses taxes et ses impôts sans rien dire. En réalité, chez les bien-pensants, on assimile le Québécois à un crétin.