Monsieur Arsenault,
On ne se connaît pas personnellement, mais comme disait Gustave Le Bon, s’ignorer vaut parfois mieux que se connaître. Je tenais quand même à vous écrire pour vous parler de votre « concerto de gauche » avec Claudette, Réjean, Léo, François, Lucie, Gilles, Dominique, et Louis Philippe. Personnellement, j’ai trouvé que vous donniez un peu dans la fanfare mais... le « rétro » a sa clientèle.
Trêve de flatterie! Revenons-en aux animaux. Selon vous, sans les programmes sociaux nous ne serions pas mieux que des animaux. Je vous cite : « Ça, c’est la différence entre les êtres humains et les animaux. Les animaux, quand il y en a un qui vieillit, ils le laissent mourir et ils le mangent entre eux. ». Je me demande bien ce que Mgr Ouellet en penserait! Voilà maintenant que Dieu a créé les animaux et que c’est l’État et les syndicats qui en font des humains.