Le Soleil
Pierre Simard et Jean-Luc Migué
Est-il raisonnable de distribuer des accommodements liés aux différences culturelles et religieuses? Pour l’économiste, les bonnes décisions politiques s’apparentent à un bien public : elles bénéficient à tous et ne privent personne. Toutefois, notre système politique permet à divers groupes d’intérêts de se faire accorder des privilèges qui, s’ils leur sont très profitables, sont coûteux pour la société. Non seulement coûteux en termes monétaires, mais aussi parce qu’ils créent insécurité et frustration parmi la population. Or, c’est essentiellement ce qui se passe avec l’octroi d’accommodements dits raisonnables.
Article épinglé
mercredi 10 octobre 2007
mardi 19 juin 2007
Les foutus économistes!
La Presse et Le Soleil
Pierre Simard
Saint David Suzuki a lancé le cri de ralliement : « Commençons par cesser d’écouter les foutus économistes. » Lorsque j’ai lu cette nouvelle, j’ai immédiatement compris que ce dernier ne faisait que protéger son monopole de diffuseur de l’information en matière de réchauffement climatique. Parce qu’en fait, la stratégie des groupes de pression environnementaux est claire et bien documentée par la science économique : elle mise sur l’ignorance rationnelle de la population.
Pierre Simard
Saint David Suzuki a lancé le cri de ralliement : « Commençons par cesser d’écouter les foutus économistes. » Lorsque j’ai lu cette nouvelle, j’ai immédiatement compris que ce dernier ne faisait que protéger son monopole de diffuseur de l’information en matière de réchauffement climatique. Parce qu’en fait, la stratégie des groupes de pression environnementaux est claire et bien documentée par la science économique : elle mise sur l’ignorance rationnelle de la population.
jeudi 29 mars 2007
Pour vaincre l’immobilisme!
Le Soleil
Pierre Simard
Les débats qui entourent l’émergence de la plupart des projets de développement ont tous un trait commun : les promoteurs de ces projets y sont présentés comme des êtres irresponsables contre lesquels l’État doit nous protéger. Quel que soit le projet sur la table, on réclame l’État responsable, c’est-à-dire celui qui saura rejeter, autoriser ou réguler une initiative au nom de l’intérêt public. L’État responsable devient alors le gage de réussite et de sécurité donnant l’illusion d’un développement respectueux et durable.
Pierre Simard
Les débats qui entourent l’émergence de la plupart des projets de développement ont tous un trait commun : les promoteurs de ces projets y sont présentés comme des êtres irresponsables contre lesquels l’État doit nous protéger. Quel que soit le projet sur la table, on réclame l’État responsable, c’est-à-dire celui qui saura rejeter, autoriser ou réguler une initiative au nom de l’intérêt public. L’État responsable devient alors le gage de réussite et de sécurité donnant l’illusion d’un développement respectueux et durable.
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